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Action & Aventure

[Dossier] Castlevania : une série à croquer – 1/3 : Castlevania Anniversary Collection

2018-2019 est l’année Castlevania, avec la sortie de plusieurs grands classiques sur la nouvelle génération de console. Retour sur une série mythique qui ravit les chasseurs de vampires depuis plus de trente ans!

Le château hanté de Dracula

Castlevania est une série de jeux d’action-plateforme débutée sur NES en 1986. Elle met en scène le clan Belmont, une famille de chasseurs de vampires qui traverse les ages pour s’opposer au prince des ténèbres : Dracula.

Dracula revient à la vie tous les 100 ans (enfin, ce n’est pas une science exacte, parfois il ressuscite après à peine 5 ans…) et à chaque fois, un héros se mettra en travers de ses sombres desseins, armé de son fidèle fouet : le « vampire slayer », et de tout un arsenal d’armes secondaires : dagues, haches de lancer, croix et fioles d’eau bénite.

Bien sur, le roi des vampires a lui aussi plus d’un tour dans son sac et fera appel à tout un bestiaire pour défendre son château.

Les jeux sont bourrés de références en tout genre : à la littérature, d’abord : Dracula est bien sûr le personnage du roman éponyme de Bram Stoker ; on croisera aussi la créature de Frankenstein de Mary Shelley, ou d’autres moins connus, comme la Carmilla de Sheridan Le Fanu.

Castlevania 3 sur NES : la séquence d’introduction prend la forme d’une pellicule, pour rappeler les fortes inspirations puisées par les créateurs du jeu dans le cinéma de genre.

La série emprunte au cinéma également : toutes les incarnations à l’écran de ces monstres sont citées de façon humoristique. Ainsi, à la fin du premier opus sur NES, on apprend que Dracula est joué par Christopher Bee, référence à Christopher Lee, immense acteur qui, avant d’être Saroumane dans le Seigneur des Anneaux, avait prêté ses traits au comte maléfique de nombreuses fois sur pellicule. On trouvera aussi des allusions à Boris Karloff, Bela Lugosi…

Des créatures mythologiques, comme la méduse, renforcent ce casting. Il faut peut être aller voir du côté des films de Ray Harryhausen, comme le Choc des Titans pour en trouver l’inspiration.

Castlevania sur NES : première rencontre avec les agaçantes têtes de méduse…

La structure narrative de la série, avec son méchant qui revient périodiquement et un nouveau personnage qui l’affronte à chaque fois, donne pas mal de liberté à ses créateurs et ce sont pas moins de 35 jeux qui verront le jour, sur de multiples supports et dont l’histoire se déroule entre 1094 et 2036!

Bien sûr, cette pléthore de titre comprend un certain nombre d’opus non-canons (mais dont certains aspects ont été « retcon » dans des titres faisant partie de la chronologie officielle…), comme l’épisode GB Castlevania Lengends, et autres spin-offs, comme les épisodes Nintendo 64, premières incursions de la série dans le monde de la 3D ; il y a même un jeu de combat sur Wii et un reboot complet de la série sur PS3 : Castlevania Lords of Shadow…

Ajoutez à celà que les jeux du canon officiel ne se suivent pas forcement chronologiquement, ou encore que certains sont des remakes (le premier épisode en a eu deux : Castlevania Chronicles, sur Sharp X68000, puis sur PS, ainsi que Castlevania IV sur Super NES…) et il devient difficile de s’y retrouver.

Heureusement, Konami nous propose 2 compilations pour (re)découvrir une dizaine de titres essentiels de la saga.

Castlevania Anniversary Collection

(PS4, Xbox One, PC et Switch)

Castlevania Anniversary Collection, bien que la deuxième de ces anthologies du point de vue de la sortie, se penche sur les origines de la saga.

Pour une vingtaine d’euros, elle vous permet de jouer à pas moins de 8 jeux plus ou moins indispensables, dont un assez rare et un inédit en occident, avec le confort d’une émulation de qualité.

Elle nous donne surtout une bonne impression de l’évolution de la série de l’action platformer aux débuts d’un style très en vogue de nos jours : le metroidvania.

Les jeux d’action pure et dure : Castlevania et Super Castlevania IV

Le tout premier épisode, sorti sur NES, est un jeu de plateformes assez difficile et qui, s’il ne révolutionne pas le genre, apporte toutefois son lot de bonnes idées.

La thématique horreur, tout d’abord est assez inédite à l’époque. Le gameplay, bien qu’un peu rigide, se montre relativement efficace, notament en dotant le personnage d’un fouet, qui permet au joueur de gérer la distance des adversaires. Les armes secondaires donnent aussi une variété appréciable au système de combat.

Enfin, les paterns de certains ennemis sont très difficiles à anticiper, comme par exemple les célèbres têtes de méduses qui volent à travers l’écran en suivant une sinusoïde toujours différente. Les réflexes du joueur seront donc sollicités.

S’il n’est pas le meilleur, ce Castlevania est sans doute un épisode incontournable de la série.

Simon Belmont s’apprête à affronter le Comte Dracula…

Super Castlevania IV n’est autre que le remake du premier Castlevania! Il met à nouveau en scène l’épopée de Simon Belmont, qui est sans doute le membre le plus populaire du clan de chasseurs de vampires.

Le jeu étend l’univers de son ancêtre, en ajoutant de nouveaux environnements, notamment dans le parcours de Simon jusqu’au château de Dracula, ainsi que le bestiaire qui va avec, à travers des monstres originaux, comme par exemple une chauve-souris composée de pièces d’or, ou des spectres danseurs!

Le gameplay devient plus fluide et permet au joueur de nouveaux mouvements, comme attaquer vers le haut, ou encore le fameux « Bruce Lee’s whip » qui transforme votre fouet en nunchaku pour effectuer des moulinets dans toutes les directions, ce qui sera certes moins efficace sur le plan offensif, mais s’avérera très utile pour parer certaines attaques ennemies.

Sur le plan technique, le jeu exploite bien les capacités de la console, avec des graphismes assez fins pour l’époque et des niveaux utilisant le mode 7 (un système de simulation de 3D par un effet de perspective).

Super Castlevania IV revisite des environnements incontournables de la série, comme la Clock Tower.

Cet épisode est à la fois un incontournable de la série, et un titre majeur de la Super Nintendo. C’est aussi un titre recherché par les collectionneurs : une version cartouche avec boite et mode d’emploi peut s’acheter à plus de 100€ de nos jours!

Cet escalier est un classique de la série.

Vers une plus grande liberté d’exploration : Castlevania Adventures 1 et 2 et Castlevania the New Generation

En parallèle des épisodes NES, la série évolue sur Game Boy. Les limitations techniques de la portable de Nintendo vont pousser les développeurs à faire preuve d’imagination pour produire deux titres de qualité.

Ainsi, lorsque notre nouveau héros, Christopher Belmont, upgrade son fouet, il peut bénéficier d’un projectile qui lui permettra de surmonter les nombreuses difficultés qui l’attendent. Cela compense un peu un gameplay dans l’ensemble assez rigide.

Les sauts de ces épisodes GB sont particulièrement raides. Il faudra souvent sauter au dernier moment, quitte à marcher un peu dans le vide… c’est un coup à prendre.

Les limites de mémoire obligent les développeurs à réutiliser des éléments de décors, et même souvent des salles entières (parfois en les mettant en miroir). Pour éviter de créer la lassitude chez le joueur, ils vont jouer sur l’agencement de ces environnements. Ainsi, la progression est moins linéaire que dans les épisodes NES, avec une dimension beaucoup plus verticale. Christopher sait grimper à la corde et devra bien souvent monter ou descendre pour progresser. Il arrive bien souvent que plusieurs chemins s’offrent à lui. Dans le second opus sur GB, le joueur pourra même choisir l’ordre dans lequel il effectuera les 4 châteaux qui précèdent l’arrivée de Christopher à Castlevania.

Ça n’a certes rien de révolutionnaire, mais ces quelques options de progression marquent quand même la volonté d’offrir une expérience toujours plus interactive.

Au niveau du scénario, rien de bien nouveau : on incarne l’ancêtre de Simon Belmont. Sa quête est de sauver son fils Soleil (ou Soleyu) des griffes du comte maléfique. Le jeu introduit donc une dimension plus personnelle, mais le résultat est le même : le héros du clan Belmont va affronter les forces de Dracula.

Castlevania Adventure 2 : pour la première fois, on a deux chasseurs de vampires en les personnes de Christopher et Soleil.

Pour voir le scénario de la saga se diversifier un peu, il faut se tourner vers The New Generation (également connu sous le titre « Bloodlines »).

Premier épisode sur console Sega, en l’occurrence la Mega Drive, il apporte aussi son lot de nouveautés. Pensé à l’origine comme un épisode spin-off, il fut par la suite intégré au canon officiel. Sa particularité? Il ne met pas en scène le clan Belmont, temporairement disparu, mais 2 personnages jouables : John Morris, un chasseur de vampires dont la famille a hérité du fouet Vampire slayer (et qui doit son nom à un des personnages du roman de Bram Stocker) ou son ami Eric Lecarde, qui manie la lance et semble connecté à Alucard, le fils du comte maléfique.

Tout deux partent en croisade contre Elisabeth Bartley (inspirée de la légendaire Elisabeth Bathory, une comtesse sanglante connue pour se baigner dans le sang de vierges), nièce de Dracula et bien déterminée à ramener tonton à la vie.

On peut affronter les forces du mal dans la peau d’Eric, armé de la lance d’Alucard.

La sinistre comtesse entraînera nos deux héros dans un périple à travers l’Europe de la première guerre mondiale (guerre dont elle a elle-même attisé les flammes pour en faire un gigantesque sacrifice humain en l’honneur de Dracula). C’est donc aussi pour le joueur de visiter de nouveaux lieux, et dans une époque moderne qui tranche avec les ambiances médiévales ou renaissance des épisodes précédents.

Cet épisode, sur fond de première guerre mondiale, est le premier à proposer une lecture plus moderne de l’univers Castlevania.

Le jeu offre également plus de possibilités au joueur en terme de gameplay, les deux personnages ayant chacun leurs forces et faiblesse. Par exemple, Eric, le lancier est très agile et pourra effectuer des super sauts.

Techniquement, cet opus exploite très bien les capacités de la Megadrive et propose des adversaires gigantesques aux graphismes détaillés, dont certains préfigurent ce que la saga aura à offrir dans des titres futurs comme Symphony of the Night.

Cette maîtrise du hardware permet aussi de donner de la profondeur aux environnements grâce à des scrollings parallaxes, mais aussi quelques idées originales de level design, comme par exemple la tour penchée de Pise, avec des zones en mouvement.

La tour penchée de Pise est une réussite de level design et un niveau emblématique de ce Castlevania the New Generation.

Les niveaux sont vastes et, bien souvent, le joueur pourra choisir son itinéraire, bien que, comme c’était déjà le cas dans les épisodes GB, tout les chemins mènent à Rome : on arrive toujours au même boss de fin de niveau.

Castlevania the New Generation est un jeu assez rare, auquel peu de joueurs de l’époque avaient pu se frotter. D’ailleurs, les collectionneurs pourront débourser plus de 200€ pour une version cartouche d’époque!

C’est donc certainement une des plus belles pièces de cette collection et un épisode qui mérite toute votre attention.

Les prémices du genre Metroidvania : Castlevania 2 et 3

Le terme Metroidvania est apparu après Castlevania Symphony of the Night. Il désigne des jeux mettant l’accent sur l’exploration, avec une carte qui se complète au fur et à mesure que l’on explore les différentes zones interconnectées. La progression n’est pas linéaire et le joueur devra parfois revenir dans un lieu déjà visité pour continuer à avancer grâce à une compétence nouvellement acquise. Par exemple, cette plateforme que vous aviez vue au début du jeu, mais qui était juste un peu trop haute : revenez-y avec le double saut!

Les modèles du genre sont bien sur Metroid et les Castlevania post-SOTN, mais d’autres titres plus anciens peuvent se revendiquer comme des précurseurs. C’est le cas par exemple de The Legend of Zelda – Adventure of Link, sur NES.

Et ça l’est aussi pour Castlevania 2.

Castlevania 2 est la suite directe du premier opus, et nous place à nouveau dans les sandales de Simon Belmont. Ce dernier à été maudit par Dracula lors de leur affrontement et son seul espoir de lever le mauvais sort est de réunir les différentes reliques du comte (son os, son cœur, etc…) jalousement gardées par ses sbires dans différents manoirs.

Pour y parvenir, il devra toutefois user de capacités assez étonnantes, comme voir les plateformes invisibles, vider l’eau des lacs ou encore invoquer des tornades pour surmonter des falaises.

Il pourra également augmenter la puissance de son fouet, se doter d’armes secondaires ou encore gagner en puissance à travers un système d’expérience assez complexe (quand Simon gagne un niveau, les ennemis cessent de lui donner des points d’expérience, il doit alors trouver des ennemis plus puissants dans d’autres zones plus dangereuses.)

En fin de partie, l’inventaire de Simon sera bien rempli!

Le monde du jeu est complètement ouvert et truffé de passages secrets (comprenez : dans chaque ville, balancez de l’eau bénite partout! Une pièce vide cache forcément un de ces passages.).

Hélas, sans carte pour se repérer, on a tôt fait de se perdre et les allers-retours seront nombreux. Par ailleurs, les indications données par les quelques villageois sont souvent imprécises (souvent du fait d’une traduction approximative), quand les PNJ ne s’amusent pas à vous mentir sciemment! Le mode d’emploi du jeu est clair là-dessus : on ne peut pas faire confiance aux habitants des Carpates…

Des bouts d’énigme sont également disséminés à travers la Walachie, souvent cachés dans les murs (là encore, l’eau bénite est indispensable) et sont pour la plupart… bien énigmatiques…

Bref, cette première tentative de Metroidvania est en demi-teinte. Un game design raté en fait une expérience difficile, voire carrément pénible. Le jeu est intéressante dans l’histoire de la saga, mais assez dispensable en lui-même.

Le succès mitigé de Castlevania 2 va pousser les développeurs à revoir leur copie pour le troisième épisode, pour proposer au joueur une expérience plus classique.

L’idée de liberté d’exploration n’est toutefois pas complètement abandonnée et le joueur est maintenant confronté à des embranchements entre les niveaux. Ce sont donc des pans entiers du jeu qui deviennent optionnels. Choisir telle ou telle route influencera également les rencontres que l’on fera, et qui nous donneront accès à 4 personnages jouables!

Ainsi, on pourra incarner Trevor, le personnage par défaut, ancêtre de Christopher Belmont (et pendant longtemps le doyen du clan, avant qu’il ne soit détrôné par Léon dans les épisodes PS2), mais aussi Sypha Belnades, une sorcière capable de geler ses ennemis, Grant DaNasty, un pirate agile qui peut grimper aux murs ou même Alucard, fils de Dracula, qui maîtrise les boules de feu et la métamorphose en chauve-souris!

Si on choisit de visiter le niveau optionnel de la tour de l’horloge, on pourra affronter Grant, victime d’une malédiction. Si Trevor est victorieux, le charme sera rompu et Grant acceptera de se joindre à lui!

Le divers talents de vos alliés seront bien utiles pour surmonter les obstacles qui vous attendent, mais vous serez toutefois limité : Trevor ne peut en effet prendre qu’un compagnon à la fois. De fait, si Grant vous accompagne, il cédera sa place si vous choisissez de poursuivre l’aventure en compagnie de Sypha ou d’Alucard (quant à ces derniers, ils ne peuvent pas se rencontrer).

Il faudra donc choisir avec parcimonie pour arriver à l’une des différentes fins offertes par le jeu.

La fin changera légèrement en fonction de votre compagnon.

Castlevania 3 est un incontournable de la série. Il propose en effet un challenge de qualité avec un gameplay renouvelé. En outre, il introduit un des personnages les plus populaires de la série : Alucard.

L’outsider : Kid Dracula

Kid Dracula est un spin-off de la série, jamais distribué en occident. Il met en scène, comme son nom l’indique, le fils de Dracula (s’agit-il d’Alucard? Le débat est encore ouvert…) 10000 ans dans le futur.

Kid Dracula se réveille après un sommeil de plusieurs millénaires pour découvrir que le monde des démons a été asservi par le méchant Garamoth. Il part alors en croisade pour reconquérir le trône de son père.

Le jeu s’inspire très vaguement de l’univers Castlevania, avec un traitement beaucoup plus cartoon, des ennemis mignons et rigolos et une palette graphique plus pastel.

Côté gameplay, c’est un platformer très classique : Kid évolue dans des niveaux en scrolling horizontal et affronte ses ennemis en lançant des boules de feu. Après chaque combat de boss, il gagne une nouvelle capacité, comme celle de tirer plusieurs projectiles à la fois, ou des projectiles explosifs. Chaque nouveau pouvoir sera utile dans le niveau suivant, notamment contre le boss.

On retrouvera de nombreux clins d’œil à la saga.

Au niveau des sensations de jeu, on est donc plus proche d’un Megaman, la difficulté en moins. Par ailleurs, l’aventure est truffée de mini-jeux qui permettent, s’il en était besoin, de récupérer des vies supplémentaires.

Devinez la couleur des dessous des danseuses pour gagner des vies supplémentaires… Le ton est ici beaucoup plus léger que dans la série principale.

 

Dans une ville aux airs de New York, la statue de la liberté vous défiera dans un quizz qui remplacera le traditionnel boss fight.

Dans l’ensemble, c’est rafraîchissant et on en aura vite fait le tour. Le titre n’est pas indispensable, mais il propose un autre regard, plus ludique sur la série. De plus, il s’agit du titre qui n’avait jamais eu de localisation officielle auparavant, ce qui justifie certainement qu’on s’y arrête quelques minutes, ne serait-ce que par curiosité.

Les bonus

Cette collection propose le portage de 8 jeux sortis sur diverses plateformes. Cette émulation est de qualité, mais propose le stricte minimum en terme d’options. Vous pourrez ainsi choisir les dimensions de votre écran, tout ces jeux ayant été à l’origine distribués en 4/3. Evidemment, le jeu en 16/9 sera complètement écrasé, et donc assez moche. Quelques options graphiques supplémentaires vous permettront de simuler un écran cathodique ou de changer les couleurs (pour les 2 opus GB).

Il vous sera en outre possible de sauvegarder à tout moment, ce qui peut vous aider à surmonter la difficulté notoire de certains titres.

Enfin, la collection s’accompagne d’un livre virtuel contenant des infos et des illustrations sur tous les jeux présentés.

Le livre virtuel, bien qu’un peu gadget, est assez sympathique.

Test réalisé sur Switch

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Joueur depuis pas loin de trente ans, je touche un peu à tout, avec une préférence pour le J-RPG. Je suis un grand fan de Square et l'époque qui m'a le plus marqué est l'ere des 16 bits. Le jeu que je ne me lasse jamais de refaire est Final Fantasy VI. En ce moment, je joue sur PS4, Switch et 3DS.

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