Mais qu’est ce que c’est que ce jeu? Comment a-t-il pu arriver sur le PSN? Autant de question qui ne trouveront probablement jamais réponse. Alors je vous préviens, aujourd’hui on va parler de trois wannabe Waifu, de trois flingues, de trois ennemis, et de rien d’autre.
Alors quelle est donc la recette de ce Hentai vs. Evil? Et bien c’est très simple. Pour faire un jeu naze vous aurez besoin :
- De seulement 3 maps pleines d’assets récupérés ça et là sur internet et liés entre eux par …. et bien par rien du tout.
- Quelques modes de jeu pour varier les plaisirs (c’est faux, on ne prend aucun plaisir sur ce jeu, on se contente d’en récolter les trophées et on le désinstalle).
- Seulement 3 persos féminin courtement vêtues. Et même pas besoin d’anim (si ce n’est pour leur poitrine)!
- Un peu de custo histoire que ces pauvres femmes aient encore moins de tissu sur le dos.
- Un seul bonus in-game vous permettant de recharger armes et santé.
- Quelques armes
- Un bestiaire impressionnant qui vous opposera pas moins de 3 créatures différentes (elles n’ont tellement rien à voir entre elles qu’elles semblent aussi volés sur le net que le reste des assets).

Bref vous l’aurez aisément compris, ce Hentai vs. Evil ne peut espérer se vendre que grâce à son nom ouvertement provocateur car ce jeu n’a aucune qualité propre. Il ressemble à un jeu étudiant, fait avec les moyens du bord en écumant les assets stores. Il est vraiment difficile de comprendre comment un tel « jeu » a pu passer les étapes de validation de PlayStation jusqu’à arriver sur le PSN! Surtout au prix de 9.99€…

N’achetez surtout pas ce titre dont le seul intérêt tient en sa capacité à faire bondir le référencement des sites qui veulent bien parler de lui 😉
